Les aberrantes pratiques culinaires
Il est désormais établi que le coronavirus 2019 (2019-nCoV) est né dans un marché de la ville de Wuhan, au centre de la Chine, où toutes sortes d’animaux vivants – rats, chauves-souris, chiens, chats, serpents, civettes – sont proposés à la consommation.
Ces « particularités gastronomiques » soulèvent plusieurs questions. D’abord, comment comprendre qu’elles soient le fait d’un immense pays qui se veut à la pointe de la modernité ? Ensuite, ces pratiques sont un camouflet pour nous juifs, qui avons pour mission d’être « le phare des nations » ! Comment se fait-il que les idées de base de la cacherout ne soient pas arrivées là-bas ? Avons-nous eu raison de vouloir garder « notre Thora pour nous » ?
« Les Chinois mangeraient tout ce qui a quatre pattes, sauf les tables, et tout ce qui vole, sauf les avions. » proverbe d’Asie
En Extrême-Orient un proverbe affirme que « Les Chinois mangent tout ce qui a quatre pattes, sauf les tables, et tout ce qui vole, sauf les avions. » Et effectivement, les récits que rapportent tous les Occidentaux qui reviennent de l’Empire du Milieu sont stupéfiants. Sur son blog, la jeune voyageuse Aïda Bennouna raconte pendant son année de vadrouille en Asie, avoir mangé en Chine des crevettes ivres. « C’est un plat très populaire. Avant de les servir, on laisse mariner des crevettes fraîches et vivantes dans de l’éthanol pendant quelques heures. Parfois on les passe à la vapeur pour les attendrir. » Elle a aussi goûté du scorpion frit : « Ils gardent leur dard, mais perdent leur venin après une cuisson à forte température. Ça a un goût de terre mouillée et de plastique dur. Je n’ai réussi qu’à en manger une moitié. » Et d’ajouter : « Cette expérience m’a fait découvrir à quel point j’avais le sens du défi et de la découverte. Et que ma force mentale était plus forte que je ne le croyais. » Évitant la classique soupe de tortue, elle avoue n’avoir pas eu le courage de goûter les araignées frites : « Elles sont énormes et presque effrayantes. Je tenterai sûrement l’expérience lors de mon prochain voyage en Chine. » Elle rapporte aussi une spécialité gastronomique chinoise très controversée : le cerveau de singe. « L’animal est installé vivant sous des tables spécialement conçues : elle comporte un trou où le serveur place la tête de l’animal. Une fois le client installé, le chef donne un coup de machette au crâne du singe. Le cerveau est alors consommé alors que le singe est vivant et hurle de souffrance. Cette spécialité gastronomique coûte extrêmement cher et est souvent consommée par les riches Chinois pour impressionner et se vanter de leur fortune à leurs amis. »
Par Mickaël LAUSTRIAT
La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine
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