Bella Hadid se plaint de perdre des amis par son « antisionisme »
Par Marc Brzustowski
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Bella Hadid déclare que pas mal d’entreprises l’ont lâchée quand elle a commencé à soutenir « la cause palestinienne », comme les actions du Hamas à Gaza, lors de la campagne de mai 2021, débouchant sur l\’opération \ »Gardien des Murs\ ». Voyons plutôt quel genre de société soutient à fond Bella Hadid et ses causes \ »innocentes\ » : elle est devenue l’égérie de Swarovski, société qui cache son passé nazi et le fait que, vraisemblablement, leur fortune résulte de la spoliation d’une propriété intellectuelle juive.
Cadeaux à Hitler et prospérité grâce au travail forcé
Daniel Swarovski et ses trois fils se sont inscrits dès 1933 au parti nazi, avant même qu’il ne soit légal de le faire ! Alfred Swarovski a offert 100.000 Schillings à Hitler pour qu’il construise sa résidence d’été au Tyrol près de l’usine Swarovski. En 1944, 1/6ᵉ de la main d’œuvre chez Swarovski était fournie par le travail forcé nazi. Mais l’un des fondateurs originaux de Swarovski était un Juif de Paris : Armand Kosmann. C’est ce partenaire juif des premières heures qui a breveté une machine à découper le verre de manière si fine qu’il ressemblait à un diamant. Or, bien que prédominant, Kosmann a entièrement disparu des archives et on ne sait pas clairement s’il est mort assassiné avant la Shoah ou a été déporté à la demande pressante des Swarovski auprès de leur ami le Führer…
Hadid, le changement dans la continuité Swarovski
Des Nazis inconditionnels emploient donc Bella Hadid, qui excuse les crimes terroristes de Juifs, au nom d\’une pseudo-libération de la Palestine par le Hamas. La pauvre petite fille riche est l’enfant du divorce entre un promoteur immobilier palestinien et d’une mère hollandaise.
La communauté juive mondiale, par respect pour le passé des personnes déportées sans laisser de trace, comme Armand Kosmann, devrait creuser un peu plus cette soudaine conjonction d’intérêt, entre :
- une famille aussi ancrée dans l’antisémitisme racial
- et l’usage qu’en fait son égérie, lors qu’il s’agit de soutenir la prise d’otage par les groupes terroristes du peuple dont son père est originaire.
Bella Hadid déclare souffrir de rejet de la part d’amis chez qui elle a dîné pendant 7 ans le vendredi soir et qui ne la laissent plus entrer. Elle déplore que le New York Times ait publié, durant l’Opération Gardien des Murs, sa photo, celle de sa sœur Gigi et de Dua Lipa, sur l’image d’une frappe de roquette du Hamas. « Nous sommes assimilées à des dirigeants d’une organisation terroriste. C’est vraiment décevant pour moi ».
Elle se dit privée de son héritage palestinien, à cause du divorce de sa mère d’avec le magnat palestinien de l’immobilier, Mohamed Hadid. Elle aurait aimé « grandir et être tous les jours aux côtés de son père, étudier et pouvoir pratiquer l’Islam, vivre dans une culture musulmane ». Ce qui expliquerait, pour partie, sa virulence dans des prises de positions proches du Hamas. Elle revendique ce malaise personnel comme à l’origine de sa mobilisation d’une plateforme de 53 millions 800 000 followers sur Instagram, afin de s’adonner à de la propagande contre ce qu’elle croit dénoncer comme « l’occupation israélienne ».
La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine
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