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Par Bertrand Ramas-Muhlbach pour Israël Magazine
Le 10 août 2022, le Tribunal de district central a décidé du maintien en détention de l’Imam Albaz de la ville de Lod, inculpé pour incitation à la rébellion contre la police israélienne. Située à 25 km à l’est de Tel Aviv (50 kms au nord-ouest de Jérusalem), Lod est une ville de 80 000 habitants dont 30 % sont d’origine arabe.
En mai 2021, cette ville avait été le théâtre d’affrontements intercommunautaires d’une violence inouïe : une partie de la population arabe s’était alors soulevée contre la population juive (sur incitation de l’Imam Albaz). En avril 2022, à l’occasion de l’anniversaire de ces événements, Albaz a récidivé en multipliant ses prédications haineuses anti-juives dans les mosquées. Il était donc urgent qu’Israël lui rappelle comme à toutes les factions arabes du pays, la chance de vivre dans un État démocratique, les libertés ne pouvant dégénérer en insurrection, en haine généralisée.
En mai 2021, Israël avait été secoué par des émeutes fomentées par une partie de la population arabe qui contestait les visites de Juifs dans la mosquée Al Aqsa, mais aussi l’expulsion de familles palestiniennes de Chimon hatasadik et enfin, l’intervention militaire de Tsahal dans la bande de Gaza. Lod (et d’autres villes comprenant des populations juive et arabe) s’était alors transformée en foyer de violence, quasi incontrôlable, avec des scènes de guerre urbaine (aux alentours de la Mosquée Omari, pour ce qu’il en est de Lod). Résultat : synagogues et voitures incendiées, mais aussi décès d’Yigal Yehoshoua (frappé à la tête avec une brique alors qu\’il conduisait sa voiture).
L’Etat d’Israël avait alors légiféré pour permettre un retour au calme dans les villes mixtes, judéo-arabes) avec la Loi intitulée « La loi et l\’ordre » du 24 mai 2021,
Lors de l’anniversaire marquant ces événements, Albaz a repris ses discours de haine à l’endroit d’Israël. Se référant aux affrontements survenus sur le Mont du Temple pendant le mois du Ramadan, Albaz déclarait en avril 2022 qu’Israël s’immisçait dans l’organisation de la mosquée Al Aqsa. Il a alors qualifié les émeutiers de « héros », de « braves, fortifiés, peuple de la liberté » voire de « liste d\’honneur des djihadistes, qui a écrasé l\’occupation israélienne dans le sang et l\’a empêchée de diviser la mosquée Al Aqsa ». Il a même suggéré : « Nous devrions leur embrasser la tête et les jambes, sinon Israël aurait vidé la mosquée Al Aqsa il y a longtemps ».
La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine
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C’est une erreur à mon avis que de parler du « quartier de Sheikh Jarrah », en réalité ce quartier se nomme Shimon Ha Tsadik !! Les squatteurs refusent de payer le loyer, et également tous les arrangements qui leur sont proposés. Ces gens sont une engeance terrible, avec lesquels rien n’est possible.
Ils ont 156 pays musulmans, qu’ils y aillent. Il n’y a qu’un pays juif, donc les mécontents, les squatteurs, les terroristes, les immams et les gauchistes palestinophiles, on vous retient pas ! Allez vivre à Haza, ou dans le 93 !