Dubaï : D comme Disneyland et Désert
Par André Darmon
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Voyager à Dubaï était, pour moi, impensable encore, il y a deux ans et pour être tout à fait honnête, je ne suis pas certain d’avoir su, que cet émirat existait. Vers la fin (véritable ?) du Covid et après qu’Israël et Dubaï aient ratifié les Accords d’Abraham, la furia du voyage s’était ainsi emparée des Israéliens pour découvrir cet émirat. Nous n’avions pas cédé à cette mode, à l’époque, bien que nous démangeait l’envie d’être le premier magazine franco-israélien à y mettre les pieds et bien que mon passeport français m’y autorisait depuis toujours. \’Alea jacta est’’. Nous sommes donc à Dubaï, salués, dans l’aéroport même, par la mélopée étonnante, soutenue, de la prière du Muezzin. Mes pieds foulent le désert de Rub al Khali (650 000 km² de territoire entre les EAU, inséré entre le Sultanat d\’Oman, le Yémen, l\’Arabie Saoudite et le littoral du Golfe Persique. Le décor est planté. Dubaï nous voilà !
Une tentation longtemps repoussée
J’avais pris soin avant de partir d’Israël de réserver quelques attractions (deux de mes fils et mon petit-fils m’accompagnaient) sans savoir que Dubaï est au fond une sorte de super Disneyland, et cela, à chaque coin de rue. Rue est un grand mot, car je découvrirais qu’il n’y pas âme qui vive à Dubaï, en tout cas en extérieur, étant données la chaleur et la touffeur du pays. Les gens vivent chez eux, sur leur lieu de travail et, plus extraordinaire, dans d\’immenses centres commerciaux, futuristes et baroques. Point d’autobus, des taxis partout, conduits tout particulièrement par des Indiens, des Pakistanais, des Bangladeshis, sérieux, concentrés et aimant la vitesse. Tout au long de ce court voyage, je remarquerais que la division du travail est fondamentale à Dubaï. Les Philippins ont investi les commerces, les Indous, les taxis et les Dubaïotes ne se croisent que dans les canyons et hôtels et ils occupent tous les postes dans les bureaux, les administrations et les ministères. Beaucoup d’étrangers travaillent à Dubaï, car ils y trouvent un salaire plus élevé, des opportunités d\’emploi, sécurité et sûreté, la tolérance religieuse. Youness, un jeune arabe marocain originaire de… Meknès, francophone bien sûr, qui s’occupe de la bagagerie de l’hôtel, me dira qu’il a quitté le Maroc, car il n’y avait là-bas aucune opportunité de développement personnel.
Mon hôtel, le Rove Downtown, se situe donc au bas du vertigineux Burj El Kalifa
La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine
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