Le consortium de médias anti-israéliens tient son nouveau scandale « Pegasus » : Demoman

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Le consortium de médias anti-israéliens tient son nouveau scandale « Pegasus » : Demoman International

Le Monde contre Doron Kabilio : et il n\’y a aucun lien organique entre l\’État d\’Israël et cette entreprise-fantôme aux pratiques répréhensibles.

 

On peut lire, dans les colonnes du Monde, ce matin, que le « journal de référence » accuse une société israélienne issue des services israéliens des opérations spéciales, d’avoir influencé le journaliste Rachid M’Barki. « On » lui aurait demandé de diffuser des informations que la rédaction n’aurait pas vérifiées à une heure tardive de la nuit (donc sans auditoire). Cette entorse aux règles lui vaudrait son actuelle mise à pied sans perte de salaire. Question : qui est « on » ? Dans quel intérêt ?

La dernière Internationale socialiste par voie de médias ?

Le Monde appartient à un consortium de médias orientés à l’extrême-gauche, dont le Guardian, le Haaretz israélien, qui endosse souvent le rôle du « cafteur », El Pais espagnol, Der Spiegel, pour se livrer à des méthodes de barbouzes afin de piéger l\’entité désignée ennemie : ici, une société privée, censée incarner Israël et/ou le Maroc (dans le cas M\’Barki), de façon générale, les Accords d’Abraham. Notons que les acteurs étatiques et le scénario des médias sont les mêmes ou presque que dans le précédent dossier Pegasus. Les avocats des états incriminés, comme le Maroc, soulèvent qu\’il n\’y a pas l\’once d\’une preuve. Mais, cette fois, des images parlent contre l\’orientation de cette société privée.  Généralement, cette mafia médiatique débusque une entreprise borderline, concernant « les droits de l’homme », dans l’espionnage ou l’influence sur la vie privée, la souveraineté des pays, cette fois les élections… Ici, il faut bien le reconnaître, le pied-nickelé semble particulièrement docile à se faire prendre à son propre piège.

Provoquer un relâchement dans la sécurité

Cette fois, ces journaux dénoncent une équipe d\’agents dirigée par l\’expert israélien en sécurité Tal Hanan, dans une enquête menée par des journalistes de 30 médias différents.

Une équipe de sous-traitants israéliens serait responsable d\’avoir manipulé plus de 30 élections dans le monde par le piratage, le sabotage et la désinformation automatisée, selon les révélation du Guardian après une « enquête approfondie ». En réalité, des journalistes infiltrés (bienvenue dans « Fauda » version Xavier Niel), aurait glissé un micro lors de conversations avec ce spécialiste de la « sécurité », manquant visiblement de vigilance, en se faisant passer pour des consultants pour un « pays africain ». Mais, « c’est double plaisir de tromper le trompeur », disait La Fontaine (Le coq et le renard).

Twitter comme principal cheval de Troie, qui y croirait ?

The Guardian a rapporté qu\’une équipe d\’agents israéliens aurait travaillé sous la direction de l\’expert israélien en sécurité Tal Hanan, un ancien agent des forces spéciales âgé de 50 ans et PDG de Demoman International, pour manipuler les résultats des élections dans des dizaines de pays au cours des deux dernières décennies.

Travaillant sous le nom de code \ »Team Jorge\ », les agents offrent leurs services à ceux qui cherchent à se mêler des élections dans le monde entier, ainsi qu\’aux entreprises clientes, a révélé « l\’enquête ».

L\’un des éléments clés des efforts de l\’équipe pour influencer les résultats des élections réside dans la puissance des médias sociaux, plus précisément Twitter.

Un robot non humain du nom de @Canaelan avait des liens vers de nombreux faux profils de médias sociaux, tous contrôlés par un logiciel de diffusion de désinformation appartenant à l\’équipe Jorge et basé en Israël.

Et ce bot n\’en est qu\’un parmi tant d\’autres.

Selon l\’enquête, le logiciel connu sous le nom d\’Advanced Impact Media Solutions (AIMS) contrôle plus de 30 000 faux profils de médias sociaux qui peuvent tous être utilisés pour diffuser de la désinformation ou de la propagande à grande échelle à une vitesse extraordinaire.

Les révélations du Guardian mercredi est le résultat d\’une enquête secrète menée par un consortium de journalistes de 30 médias différents, dont Le Monde, Der Spiegel et El País.

Au cours de l\’enquête, Hanan, ou \ »Jorge\ », s\’est entretenu avec des journalistes infiltrés, leur disant qu’il avait vendu l\’accès au logiciel AIMS à \ »des agences de renseignement, des partis politiques et des entreprises clientes anonymes\ ».

Hanan a également déclaré aux journalistes que l’entreprise avait mis ses services à la disposition des agences de renseignement du monde entier, en plus des campagnes politiques et des entreprises privées. Ces services sont utilisés en Afrique, en Amérique du Sud et centrale, aux États-Unis et en Europe, a-t-il ajouté.

Comment fonctionne AIMS ?

Le progiciel sophistiqué AIMS que propose Hanan et son équipe d\’agents israéliens contrôle des milliers de faux profils de réseaux sociaux sur Twitter, LinkedIn, Facebook, Telegram, Gmail, Instagram et YouTube. Selon The Guardian, certains de ces faux avatars possèdent même des comptes Amazon, des cartes de crédit et des portefeuilles Bitcoin.

Chaque avatar individuel reçoit sa propre histoire numérique unique et est capable d\’imiter le comportement humain grâce à l\’utilisation de l\’intelligence artificielle.

Grâce à des enregistrements secrets de plus de six heures de réunions entre Hanan et ses agents, l\’équipe d\’enquête a appris comment la Team Jorge est capable de recueillir des renseignements sur les rivaux de leurs clients, en piratant les comptes Gmail et Telegram.

Ils \ »se sont également vantés d’implanter du matériel dans des organes d\’information légitimes, qui sont ensuite amplifiés par le logiciel de gestion de robots Aims\ », a ajouté The Guardian .

Selon l\’enquête, une grande partie du travail mené par l\’équipe dans le domaine de la manipulation politique consiste à perturber ou à saboter des campagnes électorales. Dans un cas, l\’équipe a affirmé avoir \ »envoyé un jouet sexuel livré via Amazon au domicile d\’un politicien, dans le but de donner à sa femme la fausse impression qu\’il avait une liaison\ ».

Équipe d\’enquête Jorge

Afin de mener l\’enquête, trois journalistes de Haaretz, The Marker et Radio France ont approché l\’équipe sous prétexte qu\’ils étaient des consultants travaillant pour le compte de clients dans un pays africain anonyme qui cherchaient à retarder une élection.

Les rencontres entre Hanan et les journalistes ont eu lieu via des réunions vidéo, ainsi qu\’une réunion en personne dans un bureau anonyme à Modi\’in, en Israël.

Étaient également présents aux réunions quatre des agents de Hanan, dont son frère Zohar Hanan que The Guardian a décrit comme le directeur général du groupe.

Une réelle influence sur des Présidentielles ?

Dans sa présentation initiale à ceux qu\’il croyait être de nouveaux clients potentiels, Hanan a affirmé que l\’équipe Jorge avait mené à bien \ »33 campagnes au niveau présidentiel, dont 27 ont été couronnées de succès\ ».

Il a également déclaré aux journalistes infiltrés qu\’il avait été impliqué dans deux \ »projets majeurs\ » aux États-Unis, mais a déclaré que l\’équipe Jorge ne s\’engageait pas directement dans le domaine de la politique américaine.

Derrière le rideau de fumée de Demoman International

Selon l\’équipe d\’enquête, la société de sécurité israélienne, Demoman International a mené au moins une partie de l\’opération de désinformation.

Fondée en 1999, Demoman International prétend être un \ »principal fournisseur de services de haut niveau pour les agences de sécurité, de renseignement et de mise en application de la loi\ », selon leur site Web.

Ils se sont impliqués dans le conseil pour des agences gouvernementales du monde entier, notamment en Israël, en Amérique du Nord et du Sud, en Europe, en Afrique et en Asie du Sud-Est.

Prétendant offrir \ »des solutions de sécurité avancées de bout en bout, des services de renseignement et de protection du patrimoine\ », Demoman International déclare qu\’ils sont \ »engagés dans la création et l\’application de conditions sécurisées pour les gouvernements et les organisations du secteur privé afin que « nos clients puissent mener des activités sûres et des activités efficaces quel que soit le système opératoire global ».

S\’agissant d\’un tribunal médiatique donnant de la densité aux théories conspirationnistes, on ne peut attendre de ces démarches qu\’une campagne anti-israélienne renforcée, sur le mode : \ »coupable de tous les maux\ ». Et une absence totale d\’équité et de droit de la défense, du côté des désignés-coupables.

La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine

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2 réflexions sur “Le consortium de médias anti-israéliens tient son nouveau scandale « Pegasus » : Demoman”

    1. https://www.youtube.com/watch?v=CrAPnZ1isCw
      1) Le Monde et ce conglomérat de médias n’a jamais amené la moindre preuve des actions présumées de Pegasus, notamment au Maroc.
      L’avocat du Royaume du Maroc mène actuellement une action en Justice à Paris contre les insinuations de cette coterie.

      Et, cette fois, il fait comme s’il y avait un lien quelconque entre l’État d’Israël, les états déstabilisés par cette entreprise-fantôme de pieds-nickelés. C’est du renforcement du lectorat habituel du Monde en ce qui concerne le Moyen-Orient : à savoir énormément de tenants des théories conspirationnistes, qui en prennent pour leur argent.

      Jamais Le Monde ou ses acolytes ne souligneraient qu’avec la succès Story de la Start-Up Nation, il est presque « logique » statistiquement, que, dans ce flux, se glissent des « moutons noirs », sur lesquels, de surcroît, le gouvernement lui-même, ni les services anciennement employeurs de ces « mercenaires » n’ont d’emprise pour les stopper ou les modérer dans leurs pratiques. Et dans notre explication, nous soulignons que le tenant de cette organisation n’est pas le plus malin et se fait piéger à son propre jeu. Il ne s’agit donc pas de légitimer de telles exactions, mais d’interroger les pratiques contestables du journal quasi-systématiquement anti-israélien « Le Monde ».

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