FRANCE : Pastèques et Khmers-verts ou le syndrome de la pissotière

 

Par Jean-Marc Alcalay

Pastèques et Khmers-verts

 On les appelle aussi pastèques, c’est-à-dire qu’ils sont verts à l’extérieur et rouges à l’intérieur. Je rajouterai qu’ils sont aussi remplis de pépins noirs qui donnent le goût à la chair rouge de ce fruit pourtant délicieux et rafraichissant s’il n’était pas appliqué aux écolos. Bref, un dangereux mélange de vert pro-islamiste, de rouge trotskyste, léniniste ou maoïste, c’est selon, et de noir anarchiste. Ce bricolage politico-idéologique ne peut, à moyen terme, qu’exploser à la face de ces tristes écolos-artificiers, ou de ces lanceurs de boomerangs qui reviendront les percuter. Mais les Verts pourraient tout aussi bien s’appeler Khmers-verts, un semblable breuvage empoisonné de pureté robespierriste, de fantasmes d’égalité fémino-paranoïaque par élimination de tout ce qui dépasse, surtout le pénis des mâles blancs, hétérosexuels, colonialistes, Juifs, sionistes, façon Khmers rouges qui eux emprisonnaient, éduquaient et finalement assassinaient tous ceux qui étaient de dangereux intellectuels pollués par l’Occident capitaliste, reconnaissables au seul fait qu’ils portaient des lunettes…

Épuration des différences

     Cette épuration des différences, promue par les Verts français, se traduit dans les faits et est agi par les nouveaux maires écolos, malades de ce que j’appelle encore le syndrome de la pissotière.

Le syndrome de la pissotière

Après la volonté, heureusement contrariée d’Éric Piolle, le maire de Grenoble, d’imposer le burkini dans les piscines, façon islamo-gauchisme, voilà que Grégory Doucet, le maire écolo de Lyon, non content d’avoir voulu interdire le vol des avions le week-end s’en prend aujourd’hui, dans un autre réflexe illusoire de castration écolo, à la différence des sexes en voulant agir, eh oui, étonnez-vous, riez devant une telle imbécilité, sur les pissotières ! La pissotière, l’urinoir, que sais-je !, brandis comme les nouveaux étendards et symboles tristement phalliques de la différence des sexes et de l’inégalité hommes-femmes ! Les pissotières devraient devenir mixtes afin de supprimer cette sacro-sainte différence entre les hommes et les femmes. Comment y pissera-t-on, debout ? assis ? Le conseil municipal de la ville devra-t-il réfléchir et voter sur l’imposition de la meilleure posture pour les gens pressés de se soulager la vessie. La question reste entière et est sérieuse.

 Face à l’insécurité grandissante qui, elle, pollue les quartiers de Lyon et empoisonne vraiment la vie de ses habitants, les écolos  lyonnais, pastèques et Khmers-verts n’en finissent pas eux, de pisser, comme on dit dans un violon.

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