La Mort du Rav Drukman, Qui reprendra le flambeau ? ‘

La Mort du Rav Drukman,

Qui reprendra le flambeau ? ‘

Par Mickael LAUSTRIAT

Le destin de tout homme est de quitter cette terre, mais quand un grand de la Torah, comme Rav Drukman, disparaît, son départ le 25 décembre dernier engage bien plus que sa seule personne. Qui était-il exactement ? Où se situait-il dans le kaléidoscope religieux de notre pays ? Ses héritiers sauront-ils poursuivre son œuvre ?

Pour nombre d’Israéliens plus ou moins indifférents à tout ce qui touche à notre religion, la disparition de Rav Drukman le 25 décembre 2022 (1 Tévet 5783) ne signifie pas grand-chose : le lendemain de sa mort, ils se sont satisfaits de quelques pages documentées dans Haaretz, faisant souvent une part plus importante à l’opinion qu’au factuel. La presse le mentionna encore pendant quelques jours, et puis, actualité oblige, celui qui fut le continuateur de Rav Kook disparaît du paysage médiatique. Et pour ce grand homme, commence l’oubli.

Un vrai pionnier

Mais ils sont nombreux ceux qui ne l’oublieront pas. Il ne sera pas oublié de ceux qui ont fréquenté les Yeshivot et Oulpanot du Bné Akiva. À la tête de ces institutions, il œuvra pour renforcer l’identité juive de dizaines de milliers d’adolescent(e)s, développant le sens de leur identité juive, et leur rapport à la terre d’Israël. Depuis la grande yeshiva d’Alon Shvout, dans le Goush Etsion, espace autour duquel s’articulent la Judée et la Samarie, il fera rayonner la Torah vers ces régions qui nous relient très intimement à notre histoire biblique.

L\’Alyah à 12 ans en 1944

Né en 1932 dans les provinces polonaises qui appartiennent aujourd’hui à l’Ukraine, Haïm Drukman n’échappe à la Shoah qu’en se cachant, passant d’une famille d’accueil à l’autre. Lorsqu’il fait son Alya en 1944, il n’a que 12 ans, et il ne retrouvera ses parents biologiques qu’après la guerre. Il a 16 ans quand il rejoint le Nahal, cette brigade de pionniers du futur Etat juif. Démobilisé, il participe à la reconstruction de deux kibboutzim religieux (Tirat Tsvi et Saad), puis étudie à la Yeshiva Mercaz HaRav à Jérusalem, sous la direction de Rav Tsvi Yehouda Kook. C’est à partir de 1964, lorsqu’il fonde la Yeshiva Or Etsion, que son destin se précise.

Au-delà du clivage

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