Les Crimes des Mouvements occidentaux pronazis et antisémites.

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Les Crimes des Mouvements occidentaux pronazis et antisémites.

Copyright Marc-André Charguéraud, Genève 2023
pour Israël Magazine            

On ne doit pas oublier les crimes qui ont été commis sans pression allemande. En Hollande, en Belgique, au Danemark, en France, des organisations issues de la droite comme de la gauche ont compté des dizaines de milliers de militants. Sans la moindre pression allemande, elles passèrent de déclarations et de manifestations à des actions antisémites dures, trop souvent meurtrières.

Le National-Socialisme, la fascination du mal

Dans les États démocratiques, les partis fascistes ont eu un rôle important dans ce qu’un historien appelle « la rage antijuive ». Pendant l’entre-deux-guerres, presque dans tous les pays de l’Europe occidentale existe un parti fasciste antisémite qui se réclame du national-socialisme. Ils sont certes très minoritaires, mais chacun connaît le danger de minorités bien organisées et déterminées, capables de déstabiliser un régime. Pour nombre d’entre eux, le parti nazi se trouve juste au-delà de la frontière, prêt à apporter son aide.

Une prédilection nordique ?

En Suède, c’est le NS Volkpartie, au Danemark le parti National Socialiste Danois, en Finlande le Mouvement agraire antisémite Lappo, en Norvège le Rassemblement Nationaliste avec à sa tête Vidkun Quisling qui deviendra le chef du gouvernement lors de l’occupation. En Angleterre c’est Oswald Mosley qui dirige les Chemises noires de l’Union Britannique des Fascistes.

Le Nationaal-Socialistische Beweging (NSB) en Hollande regroupe 100 000 membres, soit 1,25% de la population.[2] En Belgique, le Vlaamsch Nationaal Verbond (VNV) compte également 100 000 membres.[3] Pour se situer au même niveau, la France, dont la population est cinq fois plus importante que celle de la Belgique ou de la Hollande, aurait dû compter 500 000 fascistes. On est loin du compte.

Déat et Doriot remplissent les salles

Les principales organisations fascistes, le Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot, le Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel Déat, et le Mouvement national révolutionnaire ne dépassent pas, ensemble, 65.000 membres à la veille de la guerre.

Aux États-Unis, le soutien aux nazis prend au seuil de la guerre sa forme la plus spectaculaire. Le nom même du principal mouvement fasciste, German American Bund, affiche son allégeance à l’Allemagne.

De fervents collaborateurs

Des cohortes d’Américains, bottés de noir, uniformes bruns, portant brassards et drapeaux frappés de la croix gammée, descendent au pas de l’oie la cinquième avenue à New-York. Plus impressionnant encore, un rallye se tient le 20 février 1939 au Madison Square Garden à New-York. Plus de 22.000 manifestants conspuent Roosevelt et se lèvent aux cris de Heil Hitler. Des oriflammes à croix gammée flottent au vent. Les orateurs glorifient Hitler et l’Allemagne nazie, condamnent le communisme et appellent à l’élimination des Juifs.

La suite de l’article se trouve dans le prochain numéro d’Israël Magazine

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