L\’Italie révulsée par la culture criminelle palestinienne

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— כאן חדשות (@kann_news) April 7, 2023

L\’Italie révulsée par la culture criminelle palestinienne

L\’attentat du vendredi 7 avril fait les gros titres de la presse italienne : le touriste Alessandro Farini, avocat de 35 ans, originaire de Rome et fraîchement débarqué, le matin même, est décédé, après que Yossef Abu Jaber, de Kfar Kassem l\’a percuté avec son véhicule \ »fou\ » lancé à toute vitesse sur la promenade Charles Clore de Tel Aviv.

L\’assassin voulait décupler les dégâts humains en tirant aussi à l\’arme à feu, après avoir poursuivi ses victimes avec son véhicule pour les percuter. Des policiers ne lui en ont pas laissé le temps et l\’ont stoppé net.

Le mépris de la vie au cœur de l\’idéologie palestinienne

5 des 7 autres blessés sont également des touristes britanniques ou italiens. Alors que Giorgia Meloni protestait énergiquement contre ces crimes gratuits qui caractérisent la soi-disant forme de lutte palestinienne, le Jihad Islamique et le Hamas revendiquaient haut et clair ces meurtres comme nourrissant la légitimité de leur \ »combat\ ».

On ne connaît pas d\’antécédents sécuritaires au terroriste, bédouin originaire d\’un village arabe israélien, près de Rosh Aayin. Il était nettoyeur dans une école de Kiryat Ono. Néanmoins, cet attentat s\’est produit exactement un an après la fusillade au bar Ilka de la rue Dizengoff dans la ville, au cours de laquelle trois Israéliens ont été assassinés. Le porte-parole du Jihad islamique en Judee Samarie qui s\’est félicité de l\’attaque, a évoqué dans son message le lien entre les deux événements. Pourquoi le prétendu \ »loup solitaire\ » n\’aurait-il pas fait ce rapprochement, avant de choisir d\’autres cibles à Tel Aviv?

Syndrome propre à la culture palestinienne

L\’absence d\’appartenance marquée ou de passé identifiable nous renvoie à des situations de syndrome propre à une culture donnée, comme si ces passages à l\’acte relevaient de la psychologie de masse, à l\’instar des cas de folie malaisienne dite \ »Amok\ » : un Malais s\’empare soudainement de son kris et tue absolument tout ce qui se présente devant lui : on ne peut mettre un terme à une telle crise qu\’en tuant l\’Amok. Ce type de comportement est classifié en 1994 dans la DSM IV des maladies mentales. La culture palestinienne, encadrée par le Fatah, le Hamas et le Djihad, à laquelle s\’identifient certains Arabes Israéliens, a-t-elle d\’autre référence historique que le meurtre et l\’incitation à en commettre ? Le processus d\’Oslo a atteint un point de non-retour, dès que l\’Autorité Palestinienne a concédé le contrôle des territoires à des groupuscules armés, du type de \ »Fosse aux Lions\ », qui font assaut de photo-ops et règnent par le racket sur des quartiers entiers de Naplouse, Jénine et Jéricho. Cette entité perd toute crédibilité, quant à sa capacité à faire respecter quelque norme internationale que ce soit. Que faut-il faire d\’un \ »peuple\ » en état d\’auto-hypnose terroriste, dangereux pour lui-même et pour les autres ?